Une finale cosmique qui défie la gravité !…
Si une soucoupe volante débarquait sur le Campus PSG, elle n’aurait pas provoqué autant d’excitation que le grand « média day » où Vitinha s’est aventuré en zone mixte, tel un explorateur intrépide sur une planète inconnue. Notre héros portugais a confié que, malgré les étoiles dans leurs yeux, les Parisiens avaient d’abord les crampons bien ancrés dans la terre du Stade de France pour la Coupe. Mais pas question de s’emmêler les lacets avant le véritable volcan en éruption programmé le 31, une répétition générale dirait-on.
Quant à la confrontation de Ligues des Champions, imaginez un choc entre deux galaxies qui aurait raison de l’univers footbalistique ! Vitinha, tel un gladiateur dans l’arène interstellaire, voit ce match comme le summum de sa jeune carrière. Avouons que jouer face à l’Inter Milan, c’est un peu plus stressant que de décider entre une pizza margarita ou une calzone. Mais notre ambitieux joue-dur a des rêves bien plus vastes que l’espace : encore plus de matches monumentaux, pourquoi pas ?
Et pour ceux qui s’interrogent sur la pression pré-finale, revoilà Vitinha qui, d’un rire intersidéral, nous assure que tout cela c’est du gâteau – enfin, façon de parler, car se frotter à l’Inter n’est pas une pâtisserie viennoise ! Non, ici point de crainte, que du courage, car la vieille dame de Milan n’aura pas le dernier mot face à cette bande de jeunes déchaînés, chargés à bloc comme des chargeurs de téléphone oubliés la nuit entière. Au bout du compte, seuls les plus flamboyants gagnent, ou du moins c’est ce que dit notre homme du jour avec un clin d’œil cosmique !