Quand Vitinha vise la lune en charentaise…
Attention Mesdames et Messieurs, un vent cosmique souffle sur le Parc des Princes, et à son centre, un astronaute pas comme les autres ! Vitinha, plus précis qu’un GPS parisien un jour de grève, gravit les échelons vers le Ballon d’Or en escarpins. Armé d’un pied droit affûté comme un croissant du matin, le jeune prodige du PSG est propulsé par son sélectionneur adoré, Roberto Martinez, qui le verrait bien illuminer la planète foot.
La fin du règne des titans Ronaldo et Messi siffle une nouvelle ère, où le PSG jongle avec les trophées comme un jongleur avec des pastèques. La Coupe aux grandes oreilles est accrochée au sapin parisien, tout comme une multitude de médailles dorées, brillantes et étincelantes. Dans cet océan de velléités et d’ambitions, Vitinha apparaît tel Neptune, domptant le ballon avec la grâce d’une danseuse de claquettes.
Roberto Martinez, l’homme à la verve aussi douce qu’une guitare portugaise, a clamé haut et fort que Vitinha était l’étoile montante à suivre. Lors d’une fanfare de conférences, après avoir piétiné l’Allemagne comme une feuille morte, il a déclaré que Vitinha méritait de porter ce Ballon d’Or sur son épaule, tel un sac à main absolument fashion. Les passionnés en redemandent : Vitinha, le footballeur en charentaise, est prêt à conquérir le monde !