Maman Rabiot, PSG et le tango enflammé…

Tel un feuilleton plus haletant qu’un match sous pluie diluvienne à Wembley, Véronique Rabiot fait vibrer les cœurs et trembler les moustaches des fans du PSG! Pas une minute de répit pour celle qui pourrait esquiver les paparazzis en talons aiguilles; elle est à nouveau sur le devant de la scène, sa réputation éclatante à la mode feux d’artifice du 14 juillet.

Walter Sabatini, l’homme qui murmure à l’oreille des coups foirés, a lâché quelques perles sur la mère Rabiot depuis les rives italiennes, comme s’il lançait des boulettes de spaghetti enflammées. Entre regrets et incompréhension, écouter Sabatini revient à assister à un opéra où Véronique joue les divas capricieuses. Ses mots? Aussi aiguisés qu’un jeu de jambes de Neymar, accusant madame de vouloir plumer la poule aux œufs d’or du PSG!

Imaginons la scène: là, sur le terrain des affaires juteuses, Véronique, telle une tempête costaude, réduit une décennie de transferts à un véritable soap opera. Sabatini décrit une femme qui, en découvrant le pot aux roses du transfert manqué, jongle furieusement entre les insultes florales et les ambitions fiévreuses, comme un jongleur aveugle sur une bicyclette. Une saga aussi épique qu’improbable, à suivre avec une marmite de pop-corn!