Quand un ex-entraîneur devient poète…
Imaginez une arène où les fiers chevaliers de la pelouse parisienne dans un duel gigotent face aux gladiateurs d’Aston Villa, et au milieu de tout cela, l’ensorceleur Unaï Emery, l’ancien maître de la baguette PSG ! En quelques passes magiques, son équipe a failli faire déménager l’esprit du PSG à la Casa de l’Interim. Entre deux sifflets, Emery a chanté les louanges du PSG comme on chante la beauté d’une tarte Tatin au beurre salé.
Lors de cette double confrontation, Paris sauve sa tête grâce à sa victoire à domicile, tel un chat qui s’attaque à un coussin géant pour un somme bien mérité. Avec des mots qui résonnent comme le miel gouttant d’une ruche, Emery a affirmé que le PSG jouait à un niveau de nuage stratosphérique jamais vu auparavant. Il a même comparé le PSG au tartan écossais des équipes européennes comme le Barça et le Bayern, rien que ça !
Mais Unaï n’est pas qu’un amphore d’éloges : il gardait au creux de sa moustache des regrets de ne pas avoir transformé son pudding en flan nature en réussissant à marquer dans les vingt dernières minutes. Youri Tielmans, quant à lui, a tenté de pousser son équipe comme un moteur diesel branlant dans une montée, laissant tout le monde sur la route de la déception après avoir manqué le troisième but salvateur. Tout n’est pas perdu, il reste la beauté du jeu. Olé !