Nasser, l’hypnotiseur de Cherries…
Dans les méandres du mercato où cirques et jongleries ne suffisent plus, le PSG tente le tout pour le tout afin d’attirer Illia Zabarnyi, le défenseur ukrainien, sous la Tour Eiffel. Imaginez un peu : un duel de titans économiques où les chiffres valsent comme des danseurs de polka ! Bournemouth est intransigeant, comme un sanglier résistant à une invasion de balais-brosses des cavernes, exigeant pas moins de 70 millions d’euros pour son protégé. Mais oh miracle des miracles ! Nasser al-Khelaïfi, le magicien à la montre en or, plonge ses doigts dans son chapeau rempli de liasses pour essayer de tirer un lapin, ou plutôt 60 millions d’euros, avec quelques bonus aussi mystérieux qu’un Loch Ness version Trappes.
Mais attendez, chers solides lecteurs, ce ne serait point une fable de patachonneries si Nasser, le grand chef boulanger du PSG, ne s’impliquait pas personnellement dans ce casse-tête à la sauce anglaise ! Il paraît que des discussions secrètes en pleine nuit avec tiki-tocas et maracas auraient eu lieu. Le culte d’ESPN annonce que l’accord est en train de bouillir comme un pudding sur le feu : le transfert pourrait se conclure d’ici quelques jours. Illia, lui, rêve déjà de sa danse traditionnelle sur les Champs-Élysées et fredonne des chansons de Paris.
Quant à Randal Kolo Muani, l’attaquant jongleur du club, courtisé comme la dernière crêpe chaude du marché de Breteuil, il envisage de quitter le nid où il ne compte plus les minutes comme une poule compte ses œufs en chocolat. Manchester United, la fière locomotive britannique, lui fait de l’œil avec une convoitise pincée. Toulouse depuis une Juventus aux poches en cure d’amaigrissement, Kolo pourrait bien être prêté avec une option d’achat aussi subtile qu’une envolée d’albatros. Qui sortira grandi de cette symphonie mercatesque ? Rien n’est certain, mais l’histoire continue d’être écrite à l’encre de pieuvre et au jus de chaussette !