La valse des coachs chez les Parisiennes…

La saison des Féminines du PSG a été plus tourmentée qu’un envol de pigeons lors d’un feu d’artifice géant à la Tour Eiffel. Éliminées de la Ligue des champions plus vite qu’une glace un jour de canicule, puis vaincues en finale d’Arkema Première Ligue et de la Coupe de France, on peut dire que la saison a fait plus d’éclaboussures qu’un plongeon raté ! Les plans de Fabrice Abriel ont fini par être aussi bousculés qu’un béret dans la tempête, menant son chemin vers une sortie discrète. Ajoutez à cela le départ de Marie-Antoinette Katoto, telle une étoile filante quittant le ciel parisien, et vous obtenez un cocktail explosif de défis pour la prochaine saison.

Face à ce bazar footballistique, les dirigeants du PSG tâchent désormais de dénicher un entraîneur capable de transformer cet attelage chancelant en un carrosse doré. Paulo César, après son intérim, se trouve dans les starting-blocks, prêt à enflammer le banc parisien avec sa baguette magique de stratège. En coulisses, d’autres prétendants se bousculent comme lors des soldes dans un grand magasin ; notamment Marco Simone qui rêve de prendre les commandes, même s’il n’a pas encore prouvé qu’il pouvait jongler avec des ballons aussi facilement qu’un clown au cirque. Et puis, Corinne Diacre traîne dans les coins, comme une vieille rumeur tenace, espérant une chance de repasser à l’action après une pause prolongée.

Mais que les supporters se rassurent, car le grand manitou en chef, Nasser Al-Khelaïfi, compte bien abattre sa carte maîtresse. Actuellement dans la chaude ambience américaine pour la Coupe du monde des clubs, il planche sur le dossier avec la détermination d’un chat guettant une souris. Le suspense demeure intact comme un film de série B, mais une chose est sûre : Paris ne laisse jamais son club favori marcher sur les lacets défaits de l’indécision !