Quand Paris dit bye-bye, İstanbul dit allez-hop !…
Il était une fois, dans le royaume tumultueux du PSG, un chevalier slovaque nommé Milan Skriniar. Tout avait bien commencé pour ce preux défenseur. Mais voilà que l’arrivée du prince Willian Pacho bouleverse la cour ! Astronaute sur le banc, Skriniar, avec son statut de spectateur privilégié, voit ses minutes de jeu fondre plus vite qu’un glaçon laissé en plein août sur les Champs-Élysées.
Mais telle une montgolfière sasquatchienne, il s’élève jusqu’en Turquie ! Prêté chez les Euphoriks du Bosphore, alias le Fenerbahçe, sous les ordres du sorcier José Mourinho, Skriniar voit enfin le ballon de près. Sur les terres turques, il marque, il passe, il danse ! Devenu le pilier des Ottomans du crampon, même les kebabs de minuit chantent ses louanges sous la douce lueur des lanternes stambouliotes.
L’agent de notre Slovène préféré, Roberto Sistici, n’a pas gardé sa langue dans sa poche. Il a déclaré, avec l’élégance d’un paon en smoking, que l’avenir de Skriniar pourrait bien ressembler à une odyssée turque prolongée. « Istanbul lui va comme une pantoufle de velours ! » aurait-il déclaré, et qui serait fou de s’opposer à un tel transfert ardent cet été ? Une offre de 13 millions d’euros pourrait sceller ce conte de fées, laissant le PSG repenser ses plans avec des moues perplexes.