Quand les mots se prennent les pieds dans la pelouse…
Dans la galaxie lointaine de l’Euro 2024, là où les étoiles filantes jonglent avec les ballons, Jorge Sampaoli, le Picasso du banc de touche, avait lâché une tirade digne des plus grands dramaturges ! Qualifiant Ousmane Dembélé d’« autiste du foot », il venait de créer un feu d’artifice sans précaution. Le coach argentin a vite compris que ses mots se sont pris dans le filet comme un chien dans un caniche : « Je suis émotif, passionné… mais un passoire en expression ! » Voilà comment il est revenu sur ses propos, tentant de rattraper le ballon en vol.
Sampaoli a expliqué que Dembélé, tel un funambule sur un fil, préfère jouer solo comme un chevalier sans armure. Pourtant, d’après l’ancien prophète de l’OM, l’ailier du PSG « brille de mille feux, mais il lui manque la puissance d’une supernova pour éclairer le collectif ». Malgré une saison explosive avec 33 buts qui explosent les filets et 12 passes qui tissent la toile du jeu, le maestro voit en lui un soliste bien plus qu’un chef d’orchestre.
Mais heureusement, la paix est revenue avec des excuses postées sur le grimoire électronique d’Instagram : « Meaculpa-footbalica ! », clamait Sampaoli, rappelant à tous que dans le foot, les mots sont comme les balles, mieux vaut les manier avec précaution ! Dembouz, tel un phénix rieur, continue de virevolter sur le terrain, éclaboussant les pelouses de sa magie indomptable.