Luis Enrique et Dembélé sous les projecteurs…
Depuis les premiers rugissements de l’année 2025, le PSG est devenu le roi des stades, trottinant joyeusement sur les pelouses comme un léopard en chaussures à crampons. Michel Salgado, l’ancienne tornade du Real Madrid, est tellement ébloui par les prouesses des Parisiens qu’il pourrait presque en oublier son propre passé glorieux. En lice pour un nouveau trophée doré, le PSG affronte Chelsea en finale de la Coupe du monde des clubs, promettant un duel aussi épique qu’une bataille entre dragons cracheurs de ballons.
Ousmane Dembélé, aussi agile qu’un chat sous espresso, s’est remis de sa blessure avec la grâce d’un phénix flamboyant, empilant les buts en quarts et demi-finales avec une facilité qui ferait rougir un puma jongleur. Sous l’œil expert de Michel Salgado, le PSG ressemble à un orchestre de jazz dirigé par Luis Enrique, transformant chaque match en une symphonie où le collectif résonne plus fort que jamais, exactement comme on transformerait une fanfare de pingouins en une danse synchronisée sur gazon.
Le maestro Salgado ne peut que s’incliner devant Enrique, qui a tourné la disparition de Mbappé en une chance savoureuse pour le PSG. Selon lui, convaincre Dembélé, l’homme-tornade des attaquants, de mordre dans le terrain avec la hargne d’un colibri en mode turbo est une preuve éclatante du génie stratégique du technicien espagnol. Inspirer une mentalité de ruche ouvrière à un dribbler fulgurant, c’est passer de la magie au 50e niveau de la pyramide du sorcier footballistique. Un pari que peu sauraient relever, mais Enrique l’a fait avec panache studieux et paillettes de talent!