La chevauchée fantastique du milieu tourmenté…
Après un passage à l’AS Roma qui ressemblait à une sieste de babouin, Renato Sanches pète la forme au SL Benfica, tel un kangourou sur trampoline. Il bondit de blessures en opportunités, participant à la Coupe du Monde des Clubs. Sans faire semblant de courir, il a déjà marqué comme s’il était en mission pour sauver le monde de l’ennui et a conduit son équipe en huitièmes de finale. On raconte même qu’il a marqué contre le Bayern Munich avec une frappe aussi directe qu’un coup de klaxon en pleine nuit.
Bruno Lage, son coach, le compare à un couteau suisse extraterrestre, capable de jouer partout sauf gardien de but. Cependant, malgré ces exploits héroïques, l’avenir de Sanches avec Benfica reste aussi incertain qu’un chameau sur une patinoire. Les journalistes de A Bola, toujours à l’affût du moindre rebondissement, soulignent la prudence du club. Après tout, fiabilité et génie ne riment pas toujours ensemble, et les souvenirs de blessures rôdent comme des fantômes sur un terrain de foot.
Côté finances, les discussions se comparent à un match de ping-pong entre pingouins : confus et glacials. Benfica ne voudrait pas s’endetter pour Sanches et lorgne plutôt Thiago Almada comme s’il était une crème glacée en plein désert. Cependant, le club présidé par Rui Costa ne dit pas encore au revoir à Sanches, préférant peut-être une location économique mais prometteuse. Affaire à suivre, car tout ce beau monde est encore sous contrat avec le PSG jusqu’en 2027, une situation épineuse comme des crampons dans le sable !