Quand les titis dansent et Barcola tricote des filets…

Ah, chers amis du ballon rond, hier, le PSG a livré une prestation aussi éclatante qu’un pot-au-noir sous une nuit sans lune ! Contre Strasbourg, c’était comme voir un kangourou sur des échasses affronter des escargots en roller. Luis Enrique, fin stratège ou magicien d’Oz, avait concocté une potion de jeunesse avec quatre titis titubants, tel un match de baby-foot grandeur nature.

Parmi ces jeunes pousses, Noham Kamara, petite chenille devenue papillon, a laissé tomber son coquillage pour enfiler le célèbre maillot parisien. À la mi-temps, il remplaça Lucas Hernandez, ajoutant son nom à l’encyclopédie de PSG comme le 515ème lutin à avoir foulé le terrain sous ses couleurs. Et que dire de Bradley Barcola ? Aussi rapide que la pizza du coin, il frappe dans la seconde période après seulement 44 secondes, faisant paraître Nkunku tel un guépard fatigué !

Et puis, le brave Gonçalo Ramos, peu habile devant le but comme un chat essayant d’attraper un rayon de laser, s’est tout de même distingué par sa passe, prouvant qu’il n’était pas seulement bon à faire la sieste. Sept parisiens ont atteint la barre des 10 implications en Ligue 1, offrant au PSG un prestige statistique digne de garnir le palais du football européen de confiseries !