Kombouaré face à un PSG version Luis Enrique…

Sous la baguette magique de Luis Enrique, le PSG a troqué ses chaussettes trouées pour un costume trois-pièces. Antoine Kombouaré, tel un chevalier face à un dragon, se prépare à affronter son ancien club relooké en machine à gagner. Les Parisiens, devenus aussi intraitables que la grand-mère aux boucles violettes qui protège sa pelouse, alignent victoires comme un enfant aligne les petits pois au bord de son assiette, avec une régularité qui laisse bouche bée.

Le coach des Canaris, dans l’ombre de sa table d’échecs, rêve d’un exploit aussi grand que de marcher sur l’eau avec des palmes en béton. Il parle à son équipe, motivé comme un réveil un lundi matin : « On va affronter l’une des meilleures équipes d’Europe! » Pour lui, un match nul arraché telles des frites dans l’assiette d’un autre, reste un signe d’espoir dans ce dédale de pressions incessantes du PSG, devenu par la grâce de Luis Enrique aussi solidaire qu’une boîte de trombones.

Quant à Nantes, les supporters frémissent d’excitation, espérant que leur équipe puisse rompre la série du PSG comme un œuf à la coque parfaitement cuit. Kombouaré, sous les feux de la rampe comme une star de cinéma des années 90, veut honorer l’héritage de 1995, défiant les pronostics et les pronostiques, avec l’envie implacable d’une louche à soupe dans un bol vide. Le choc de titans s’annonce et les émotions subiront probablement des montagnes russes dignes d’un parc d’attractions!