Lucas Hernandez, princesse, fresques et climatiseurs…

Le rideau s’apprête à se lever sur le grand théâtre du foot où le PSG défiera l’Inter Miami. Entre deux croissants et un café bien corsé, Lucas Hernandez, le défenseur aussi solide qu’un camembert bien affiné, a exposé ses pensées avant cette rencontre épique. Il arrive détendu, tel un chat satisfait après sa sieste, après avoir assisté à la naissance de son petit rayon de soleil, sa princesse, ce qui lui a donné des ailes de dragon ailé.

Hernandez s’enflamme en parlant de l’Inter Miami, qu’il décrit comme un plat totalement inédit dans la carte du menu footballistique. Jouer contre une telle équipe, c’est comme déguster un escargot pour la première fois : déroutant mais oh combien enrichissant ! Et cerise sur le gâteau glacé, le stade sera climatisé. Une première dans le monde où rarement frissons et pelouse se sont côtoyés si harmonieusement.

Quant à sa troupe de mousquetaires, Hernandez assure qu’ils sont prêts comme jamais, l’épée à la main et l’œil du tigre bien aiguisé. Entraînements au cordeau, entente telle une chorale de crapauds enjoués, rien n’est laissé au hasard. Ensemble, ils rêvent de décrocher la lune en passant par l’étoile scintillante de cette coupe. Voilà une aventure digne des plus grandes légendes du foot… et le PSG, il en a déjà écrit quelques-unes !