Luis Enrique chante des louanges… ou presque…

Dans le grand théâtre du foot-bal masqué, le PSG a trébuché contre les maestros bossa-nova de Botafogo. Alors que les Parisiens rêvaient déjà de calembours et de confettis pour fêter une qualification prématurée, c’est un carton rouge métaphorique qui est tombé. Résultat final : 0-1, ou la macarena échouée. Luis Enrique, tel un poète mélancolique, a salué la défense brésilienne, aussi impénétrable qu’un café fort au pays de la samba nocturne.

Dans cette compétition où un faux pas vous plonge aussi vite qu’un plongeon de Neymar, Enrique savait que le match ressemblait à un pas de danse disco où chaque rythme était crucial. « Surpris ? Non ! Mais les paillettes de nos espoirs se sont éteintes » déclare-t-il en souriant. Les bottes parisiennes ont été muselées par le mur de Botafogo aussi résistant qu’une recette de caïpirinha.

Et que dire de cette défaite au goût amer de feijoada refroidie ? Oh, PSG, tu sembles aussi fatigué qu’un moulin à parole après une conférence de presse marathon. Mais Enrique reste optimiste : « On a soulevé quelques montagnes mais notre escalade a été stoppée par un bloc bas si solide qu’il aurait pu servir de mur pour une samba magistrale. » Next step : Seattle, préparez le popcorn.