Al-Khelaïfi rêve grand, comme d’habitude !…
Dans l’étrange univers des quarts de finale de la Coupe du monde des clubs, le PSG, tel un chaton à cuirassé doré, s’apprête à rugir contre le redoutable ogre bavarois. Préparez-vous, mesdames et messieurs, à un duel d’anthologie où même les chaussettes des joueurs seront en compétition ! Le président al-Khelaïfi, grand orateur et jongleur de mots, a réussi à captiver son public en parlant d’entrer dans l’histoire—rien que ça ! Avec l’enthousiasme d’un adolescent devant une montagne de pizzas, il se prépare à marquer cette compétition d’une empreinte indélébile.
En véritable chef d’orchestre, al-Khelaïfi a vanté les mérites de ses troupes, les décrivant comme une bande de gladiateurs armés jusqu’aux dents—ou du moins jusqu’aux tibias. Porté par ce bel optimisme, il ironise sur le fait de n’être qu’en quarts de finale, comme un explorateur qui ne commence son périple qu’après avoir égaré sa carte. Qu’importe les obstacles, le maître mot du jour est « bataille », bien qu’on espère de belles actions plutôt que des crampes mémorables.
Quant à Ousmane Dembélé, al-Khelaïfi le compare à une étoile filante, brillant d’un éclat tellement intense que même le Ballon d’or pourrait être jaloux. Mais, précise-t-il, le plus important est l’esprit d’équipe : pas d’égoïsmes permis, ici on partage tout, même les gâteaux de pain aux raisins. En résumé, ce choc PSG-Bayern, c’est l’événement à ne manquer sous aucun prétexte, sauf peut-être si vous êtes un extraterrestre sans accès à la DAZN.