Un PSG d’anthologie terrasse Arsenal…
Ah mes amis, ce mardi soir fut aussi intense qu’un épisode final de votre série préférée ! Le parc d’attractions de l’Emirates Stadium a vibré au son des cris détonants des supporters, mais ce sont les Parisiens qui ont glissé la plus belle boule de flipper dans la machine rangée au fond des filets. Dès la quatrième minute, Ousmane « l’effilocheur » Dembélé a envoyé une praline d’une rare beauté, aidé subtilement par un poteau complice, pour sceller une avance que même le plus audacieux des cambrioleurs n’aurait su dérober. Gloire au génial coordonnier Luis Enrique qui a su lacer parfaitement ses crampons étoilés !
Les Gunners, quant à eux, ont tenté en vain de chevaucher leurs crampons volants pour revenir au score. Leurs offensives, dignes d’une course de limaces sur patins à roulettes, furent anéanties par le mur de Donnarumma, qui, déguisé en pieuvre cybernétique, a attrapé chaque ballon comme une mouche avait embrassé un piège. Arsenal pensait bien astiquer les deux bouts du balai quand Mikel Merino faisait trembler les filets, mais la VAR, cette ensorceleuse invisible, est intervenue tel un arbitre fantôme pour effacer leur sourire.
C’est donc avec la grâce d’un éléphant sur un trampoline que le PSG a préservé son avance jusqu’au coup de sifflet final. Les Parisiens seraient allés jusqu’à cuire des saucisses sur la barre transversale tant la pression était forte, mais hélas, cela reste à prouver. Avec cette victoire comme un bouchon de champagne qui vole dans la stratosphère, ils rentrent à Paris avec un pas de plus vers la finale tant convoitée. Le Parc des Princes se prépare déjà à vibrer pour la revanche, où les Gunners devront aiguiser leurs canons s’ils espèrent inverser la tendance. À bientôt pour la suite du feuilleton footbalistique !