Enrique et sa bande en feu avec Kvara et Doué !…
Sur un ring de foot digne des batailles légendaires entre Astérix et une horde de Romains, le PSG a mis KO Aston Villa sur un score de 3-1 en quart de finale aller de Ligue des champions. C’était le centième spectacle grandiose du grand magicien Luis Enrique sur le banc, célébré par les feux d’artifice de Khvicha « Kvara » Kvaratskhelia et Désiré Doué. Avec plus de tirs que de moustiques un soir d’été en Provence, 29 pour être précis, le PSG a écrabouillé des Villans, visiblement traumatisés par le plan de jeu minimaliste d’Unai Emery. Après un premier round tendu, le public du Parc des Princes a pu exulter grâce aux éclairs de génie des Parisiens.
Pas de potion magique pour les Anglais cette fois-ci. Morgan Rogers avait allumé la première mèche, mais telle une prise explosive à retardement, Paris a répondu avec force et précision, renversant la vapeur avec la grâce d’un danseur de flamenco débridé. Nuno Mendes, fougueux comme un taureau enragé, a confirmé le break à la dernière seconde, assurant aux Gaulois du ballon rond une belle avance pour le match retour. Pendant ce temps-là, Luis Enrique savourait cette victoire avec la tranquillité d’un moine tibétain, tout en laissant ses cheveux au vent comme un héros de telenovela.
De l’autre côté du miroir des exploits, se trouvait un autre enjeu. Désiré Doué, le jeune Tricolore, a montré ses dents de vampire assoiffé de buts en égalisant d’un coup magistral. Sur les traces de superstars comme Dembouz et en éclatant les défenses d’un coup de baguette footballistique, Doué s’est imposé comme le joueur qu’on n’attendait pas mais qu’on espérait tant. Le prochain épisode se jouera à Birmi-ring cette semaine, où les Villas devront montrer plus de courage qu’un chevalier sans épée pour creuser l’écart contre le PSG, qui semble prêt à affronter tout et n’importe quoi, même une armée de plots défensifs acariâtres. Ah là là, mes amis, quel match !