Quand Paris décolle pour l’oncle Sam…

Laissez-moi vous dessiner un tableau aussi grand que le Rose Bowl de Pasadena : le PSG, ce géant aux pieds bagués, débarque en Amérique pour un marathon de business digne des Looney Tunes ! Entre deux jongles avec le ballon, le club parisien espère séduire l’Oncle Sam jusqu’à lui faire porter le béret. Tandis que la carte de crédit chauffe aux couleurs de Jordan, le PSG pose ses crampons sous les cocotiers californiens et multiplie les partnerships dignes d’une symphonie de Louis Armstrong.

Mais si le PSG danse la samba financière aux États-Unis, Nasser al-Khelaïfi et John Textor s’offrent une réconciliation à la sauce guimauve. Comme des garnisons de Nutella sur une crêpe bretonne, ils troquent leurs vieilles querelles pour un sourire aussi large qu’une promenade sur les Champs-Élysées. Merci à Vincent Labrune, chef d’orchestre de cette valse improbable entre le Parc des Princes et la tour de Pise.

Les ambitions parisiennes ne s’arrêtent pas là. Ô divine pause-clope ! Le PSG lorgne des sponsors US aussi variés que le calendrier de l’Avent. Assureurs, banques ou même fabricants de pneus, ne vous cachez pas ! Pour ces bouffées d’optimisme et de nouvelles alliances, le président parisien sort la grosse caisse : le PSG doit régner sur l’Europe tel un coq gaulois surmontant les Rocheuses. Allez, hop, le ballon, c’est Paris !