Le PSG et l’effort herculéen en demi-finales…

Dans une soirée qui ressemblait à un feuilleton dramatique ponctué de rebondissements à faire pâlir Hollywood, nos Parisiens chéris sont sortis victorieux de leur duel à pied avec Aston Villa. Menant la danse avec un 2-0 qui aurait fait rougir un coureur du 100 mètres, ils ont été rattrapés par des Villans au sprint sprinteur, arrachant un 3-2 digne d’un film de Spielberg. Oui, mes amis, les supporters du PSG ont revécu des moments aussi stressants qu’un bretzel dans un verre d’eau. Mais une qualification, c’est l’essentiel, non ?

Il semblerait qu’Ousmane Dembélé ait trouvé en lui une Nobel de la modestie, refusant le prix d’homme du match avec la grâce d’un caméléon jouant au poker. Pourtant, c’est Gianluigi Donnarumma qui a tiré ses gants comme un super-héros anonyme, recevant des louanges dignes de la légion d’honneur. Ah, les tape-mains présidentielles de Nasser al-Khelaïfi ont fusé plus vite que la lumière, avec des mots de fierté répétés comme une chanson de pop star ! Le PSG, dans cette ivresse modérée de qualification, peut se rappeler qu’ils s’avancent vers une quatrième demi-finale en six ans, soit comme un escargot turbo sur une piste de bowling.

D’ailleurs, le retour à la maison à Roissy fut accueilli par un comité de supporters en délire – ou du moins une dizaine – embrassant les joueurs avec une chaleur digne d’un festival de Cannes. Les félicitations volaient telle une nuée de confettis bien sentis, notamment pour Vitinha et Pacho, les gladiateurs fatigués de la soirée. Que voulez-vous, la confiance flotte haut et les cœurs battent fort, prêts à embrasser la suite de cette odyssée footballistique aux accents surrealistement héroïques.