Des buts, des sueurs et des arrêts divins…

Il était une fois, dans le royaume du foot où les ballons virevoltent comme des baguettes magiques, le PSG a jonglé sur le fil du suspense en matinée brumeuse face à Aston Villa. Tels des artistes de cirque, ils passent de l’extase du 2-0 à la terreur du 3-2. Donnarumma, tel un super-héros sans cape, s’est dressé tel un mur vivant contre les vagues anglaises déchaînées, évitant au club parisien une plongée dans l’abîme du désastre sportif.

Dans l’édition colorée de L’Équipe, notre cher Hirondelle Luis Enrique apparaît tel un chef d’orchestre sur une piste de danse, qualifiant le PSG pour une quatrième fois en demi-finales en six ans. Entre les acrobaties de Hakimi et Mendes, qui marquent comme s’ils avaient troqué leurs crampons contre des chaussures de danse, il fallait un chef pour éviter que le cirque ne prenne feu. Heureusement, au milieu de ce chaos organisé, Donnarumma, le gardien sorcier, effectue des parades dignes d’un Jedi.

Mais hélas, les petits lutins du milieu ont sombré comme des croissants tombant dans un café trop chaud. Vitinha, Ruiz et Neves, pourtant pleins d’espoir, se sont retrouvés à jouer à cache-cache avec le ballon. Fort heureusement, le PSG a tiré les leçons de ce ballet improvisé, se préparant déjà à croiser le fer contre Arsenal ou un certain Real Madrid, espérant transformer le Parc des Princes en un théâtre de victoire éblouissante.