Skriniar, d’un foot parisien au bosphore en fanfare !…
Confucius avait raison : quand on est prêté à Fenerbahçe, on ne fait pas du tourisme ! Milan Skriniar, nouveau tavernier du Bosphore, a dansé, dribblé et plongé dans 23 matchs comme s’il recherchait le Saint-Graal des pelouses turques. Paris, où il n’a joué que cinq matchs, lui semblait aussi palpitant qu’un biscuit sec un dimanche après-midi. Résultat ? Les accords entre le PSG et le club turc sifflotent leur mélodie finale, prêts à annoncer que Skriniar troquera ses grenouillères parisiennes contre des babouches stambouliotes – et pour 10 millions d’euros, svp, ce qui, rappelons-le, ferait miauler un chat en or.
José Mourinho, le maestro des platines footballistiques, a craqué pour Skriniar comme une mamie devant une promo d’écharpes en soie. Aidé par trois buts, une passe décisive, et probablement quelques kebabs, le défenseur s’est forgé une réputation d’irremplaçable sur le terrain où il brille plus qu’un néon de discothèque. Et de retour à Paris, le bougre préfère galoper à Istanbul que de siroter un latte fade à Montparnasse.
D’un coup de téléphone à quatre coins, les dirigeants de Fenerbahçe ont sorti le grand jeu : une offre en béton, la calculette en surchauffe et Fabrizio Romano prenant des notes fiévreusement. Avec une ultime pirouette de stylo, la transaction pourrait voir la lumière dès cette semaine. Accrochez vos ceintures, le feuilleton promet plus de rebondissements qu’une tarentelle endiablée !