L’épopée parisienne entre drame et comédie…

Attention, chers amateurs du cuir et des cartons jaunes, car voici une nouvelle digne d’une chimère sportive ! C’est comme si le PSG surfait sur les vagues d’une série télévisée où les saisons se suivent mais ne se ressemblent pas ! Imaginez une Ligue 1 où les clubs râpent le goudron en quête de droits TV comme un bistrotier à court de Ricard. Avec DAZN qui s’enfuit comme un voleur de cerises, la LFP diffuse elle-même les matchs, remplaçant le public par des cactus en plastique. C’est Waterloo pour les clubs modestes et Fontenay-sous-Bois pour les gros poissons, tout ça grâce à des A/R musclés sur le marché des transferts — ambiance marché aux puces à la Tour Eiffel.

Pendant ce temps, à Atlanta, des joueurs PSG transpirent à grosses gouttes sous le cagnard comme des glaçons en pleine fonte arctique. Entre double haie d’honneur et chapeau de paille, Lucas Hernandez pouponne, tandis qu’Achraf Hakimi joue les cadors façon chef d’orchestre sans baguette. Avec Dembélé—le bison bondissant du Parc des Princes—de retour, c’est un ballet aussi rafraîchissant qu’un diabolo menthe en terrasse. Dimanche, face à Miami, les fans s’attendent à ce que le PSG danse la java sous un toit-clim à huis clos thermique.

Pour couronner cette folie, Lionel Messi — ex-rockstar de la capitale — laisse un souvenir aussi marbré qu’un roquefort affiné sous le crachat de critiques. Le beau gosse argentin n’a jamais vraiment retrouvé ses pantoufles au pied du Sacré-Cœur, pourtant il porte aujourd’hui un tendre coup de pied au fessier des dirigeants parisiens depuis la Floride. Et que dire de Mbappé ? Avec une plainte sur le dos contre le PSG pour harcèlement, la situation ressemble à un ballet de bisons danois en tutu : aussi chaotique que spectaculaire. Mais qu’on se le dise, Paris restera Paris, et ses drames, la cerise sur le gâteau !