L’addition fiscovuvuzela !…
Il était une fois, en des temps reculés où le PSG célébrait l’arrivée ronflante de Gianluigi Buffon, gardien légendaire surnommé le « Mur de Pise ». Mais hélas, tel un soufflé au fromage, les performances sportives de l’Italien ont laissé à désirer. Comme un cadeau surprise périmé, il a aussi laissé une dette fiscale gonflée, façon ballon dirigeable : 1,2 million d’euros, rien que ça !
Les hommes du Parc des Princes, aussi habiles qu’un chat sur un miroir, ont tenté d’esquiver les griffes du fisc. Malheureusement, l’appel fut aussi efficace qu’un coup franc raté, et le club doit maintenant tirer un penalty à l’envers en versant la somme de 250 000 euros. Comme si cela ne suffisait pas, Buffon, toujours très ambitieux, espérait obtenir 25 000 euros pour « résistance abusive ». Il devra se contenter d’une photo dédicacée.
Moralité de l’histoire : même une légende doit savoir jongler avec ses impôts ! Le PSG, quant à lui, apprendra à ses dépens que transférer un joueur, c’est comme adopter un chaton ; parfois mignon, parfois un vrai casse-tête fiscal ! Autant dire que la finance était plus compliquée à gérer que Neymar et Mbappé en train de jouer de la guitare tout en dribblant un kiwi !