Poissy & Massy : Les Gardiens du Futur…
Dans l’arène flamboyante des rêves footbalistiques, le PSG, cet Hercule parisien du ballon rond, a usé de sa baguette magique pour désigner Poissy et Massy comme ses prétendants pour bâtir un royaume nouveau. Ces deux citadelles modernes détrônent Saint-Quentin, Ris-Orangis et d’autres chevaliers de carton-pâte qui sont rentrés chez eux, la tête basse, comme des pizzaïolos incapables de faire une pizza ronde. Un feuilleton digne d’un soap opera buteur touche enfin à sa fin, ou du moins à un début de chapitre.
À Poissy, le projet est planté dans le cœur palpitant des usines Stellantis – un choix merveilleux selon le grand druide des Yvelines, Karl Olive. Pendant ce temps, Massy – ah Massy, la grande cité du shopping, pourquoi pas aussi des pizzas – s’avance telle une promesse enchantée, capable de transformer une terre aride en Champagne pétillante. Les dirigeants du PSG, armés de cartes et de boussoles prêtées par Populous et Legends, scrutent l’horizon et étudient ces nouveaux territoires, en quête du Graal à 90 000 places.
Mais, entre-temps, le Parc des Princes, ce vieux soldat valeureux aux 48 000 fidèles spectateurs, ne sera pas lâché pour un sou. Le PSG, tel César surveillant son empire depuis son canapé en cuir, s’abreuve du lait collectif de ses abonnés et se prépare à remuer ciel et terre d’ici 2026, date fatidique où le sort des stades sera scellé. Mais attention, un ouragan appelé « élections municipales » pourrait tout balayer et redistribuer les cartes comme s’il s’agissait simplement du Monopoly du dimanche soir. Qui sait, peut-être que l’avenir du PSG repose sur un jet de dés juré par le destin !