L’Italien et ses idées farfelues pour l’avenir…

Imaginez une licorne galopant sur la plage avec une moustache flamboyante, criant « on avance, on avance ! » sans trop savoir où elle va. C’est exactement la situation de Gianluigi Donnarumma avant le bout du monde face à Botafogo. Le gardien du PSG, un poil rêveur, s’avance vers les journalistes avec un sourire à s’en décrocher la mâchoire. « Mon agent discute, moi j’arrête des ballons ! » clame-t-il, tel un philosophe du foot.

Dans l’arène des négociations, les paroles volent comme des confettis un jour de carnaval. Contrat en 2026 ? C’est comme attendre un renne au feu rouge. Mais Donnarumma, chevalier des cages, rassure sur sa fidélité au PSG. « Je suis à 100% », dit-il, prêt à plonger comme une grenouille sur trampoline. La clé de son succès ? Un collectif aussi soudé qu’une brigade de sardines dans leur boîte et des victoires au goût de tarte au citron.

Quant à son temps libre à Los Angeles, c’est un poisson d’avril quotidien. Shopping, plages et bourlingue en caleçon trouvent une place de choix. Décrocher un trophée ? Peut-être, mais vivre en Californie c’est déjà un exploit ! Se relaxer, c’est essentiel, surtout quand le monde entier te regarde comme un épouvantail en bikini. Une PlayStation bien partagée vaut bien tous les contrats du monde.