La Soirée Pyrotechnique de la Ligue 1…

Paris, ville des lumières et des feux de l’amour du foot, a vécu un samedi soir aux allures de carnaval, version masculine et crampons bien cirés. Imaginez un paquebot de croisière coincé sur la Seine aux pieds du PSG, mais avec l’agilité d’un poisson-globe endormi. À mi-parcours, le capitaine Luis Enrique, pale comme un vampire sous un néon, avait plus l’air d’un inspecteur Columbo que d’un entraîneur motivé. Mais après la mi-temps, tel un troupeau de moutons transpirant le mouton, les Parisiens ont fini par faire rouler la grosse machine à gagner et à terrasser l’équipe d’Auxerre.

Et soudain, c’est la fiesta au Parc des Princes! Le Parisien rit, chante et danse comme un flamant rose en chaussures dorées sur la pelouse. Les feux d’artifice fendent le ciel, illuminant les crânes brillants des sportifs et de Michaël Canitrot qui, lâchant ses vinyles dans les airs, a offert au stade une rave digne du carnaval de Rio. Dans la tribune, c’est les applaudissements à couper le souffle, comme si chaque spectateur soufflait dans un ballon de baudruche. Marquinhos, l’élégant capitaine, réussit même à embrasser le trophée avec un style digne des stars hollywoodiennes.

Et là, ô surprise, le PSG joue aux cow-boys indomptables! Des serpentins onduleux prennent d’assaut le stade, orchestrés par Luis Enrique qui s’amuse à les lancer à ses joueurs comme des boas constricteurs du carnaval géant. Avec une ovation du Parc dans les oreilles comme un hit de Daft Punk, l’équipe se prépare non seulement à dominer la Ligue des Champions comme des dieux du stade, mais aussi à faire danser toute une foule sous une pluie dorée de victoires. Le PSG, avec son équipe type, sourit donc à l’avenir comme un lapin devant une carotte géante. La fête continue!