Les coulisses déjantées du PSG dévoilées…
Ce vendredi, la sergenterie du quotidien L’Equipe nous conte les péripéties rocambolesques du PSG grimé en héros mythologique, prêt à affronter l’Inter Milan en finale de la Ligue des Champions. Kimpembe, tel un dandy en civil à la course effrénée, offre un spectacle digne d’un marathonien maladroit poursuivant un rêve. Au Parc des Princes, sous des feux d’artifice éclatants comme des cornichons lumineux, se joue une danse joyeuse où même les firmaments participent.
C’est une rivière d’émotions qui coule pendant que Donnarumma reçoit l’adoubement céleste de Peter Schmeichel, tel un chevalier intrépide en armure de gants. Les loges ressemblaient à un volcan en éruption où des boissons volaient telles des capsules spatiales. Marco Asensio, l’invité surprise en ivresse de l’instant, vient déguster la qualification comme une pâtisserie aérienne. Les champs élyséens eux, tremblaient sous la marche triomphale du peuple parisien, fêtant Luis Enrique tel Napoléon sur son cake d’anniversaire.
La suite ? C’est un suspense plus haletant qu’une partie de pétanque sur Mars ! Avec un Inter Milan aussi redoutable qu’un poulpe surdoué maîtrisant le tango. Les Parisiens, éclairés et galvanisés par l’aura laser de Marquinhos et la magie imprévisible de Dembélé, se préparent à transformer chaque corner en spectacle pyrotechnique. Et Enrique dans tout ça ? À la manière d’un philosophe en tongs, il prône une sérénité à 100 %, évitant le piège des sprints cardiaques à 110 % – le karma footballistique en somme. Que le meilleur gagne, en toute exagération !