Quand Marquinhos joue aux émotifs de service…
Samedi dernier, le PSG n’a pas seulement surclassé l’Inter, ils les ont envoyés dans un trou noir footballistique, tel un aspirateur cosmique à buts ! 5-0, rien que ça! C’est avec une tendre larme de crocodile brésilien que Marquinhos, le pilier parisien, caresse enfin « la coupe aux grandes oreilles », ce Graal tant convoité. Après 12 ans dans la savane du foot européen, il tient son trophée tel Gandalf brandissant son bâton magique pour écarter les ténèbres du palmarès vierge.
Notre cher Marquinhos, capitaine au long cours de ce navire nommé PSG, a versé plus de larmes que d’eau dans la Seine. Devant les caméras de PSG TV, il plonge dans son océan d’émotions en pensant à toutes les légendes qui ont foulé les pelouses avant lui. Les dieux du foot ont enfin exaucé ses prières, déclenchant une avalanche de bonheur au sein des Rouge & Bleu. Les supporters, dressés tels des vikings, auraient mérité eux aussi une médaille bling-bling pour tant de ferveur.
Et parlons un peu du maestro Luis Enrique, chef d’orchestre qui a transformé ses joueurs en virtuoses tactiques. Ce gourou du ballon rond a réussi une alchimie digne des plus belles théories du chaos : courir ensemble, attaquer comme des aigles et défendre tel un mur de boucliers romains. Grâce à lui, le PSG semble avoir trouvé le Saint Graal du coaching !