Le PSG affronte Nice avant la demi-finale contre Arsenal…

C’est un vendredi pas comme les autres, mesdames et messieurs ! Le PSG, déjà couronné roi de la Ligue 1, s’apprête à défier Nice avec la zénitude d’un moine tibétain mangeant un cheeseburger. Certes, une oasis de quiétude dans le désert de la Ligue 1, mais attention ! Arsenal, le dragon anglo-saxon, attend sa prochaine proie dans quatre jours. Ce qui relève du jamais vu, c’est que même Luis Enrique ne veut pas gâcher sa collection de victoires, un peu comme si Van Gogh balançait ses toiles pour utiliser la toile cirée de sa grand-mère.

Dans le coin bleu, KSI… pardon, Khvicha Kvaratskhelia, l’homme qui peut dribbler un rhinocéros tout en écrasant une fourmi sous sa semelle. L’Equipe constate néanmoins que notre virtuose géorgien, au cours des derniers matchs, a offert moins de spectacle qu’un lama enrhumé. Mais attention, chers supporters ! La pépite est là, tapie dans l’ombre, prête à illuminer l’Emirates et rendre jaloux même les constellations. Du côté du Parc, les spectateurs espèrent une explosion de Kvara digne d’un feu d’artifice en plein jour !

Et alors, mesdames et messieurs, que dire du roc inébranlable, Willian Pacho ! Une muraille équatorienne a pris racine dans le jardin des Princes. Byron Cedeño, son ancien maître Jedi, se remémore le temps où Pacho, à peine âgé de 10 ans, faisait trembler ses adversaires comme s’ils voyaient un fantôme déjeuner avec King Kong. Déjà, avec son calme olympien, il rassurait les enfants perdus sur le terrain. Cette saison, on raconte qu’il est plus utilisé par Enrique qu’un gaufrier un 14 juillet. Mais ne craignez rien, fans du foot, il sera prêt à frapper de son pied majestueux pour impressionner les Londoniens et leurs fish & chips flambés !