Botafogo Dompte le Géant Parisien…

Ah, l’enchantement d’un PSG machiavéliquement discret ! Après avoir roulé sur l’Atlético comme un pâtissier sur une pâte à choux, les Parisiens ont trébuché face à Botafogo, plus coriace que la croûte du pain perdu de ma grand-mère. Bien que les Parisiens dominaient sur le terrain comme un singe sur une banane, le score en disait autrement : 0-1. Ce match, tel un soufflé raté, a laissé un goût amer mais Warren Zaïre-Emery, le philosophe du ballon rond, refuse de sombrer dans les abîmes du désespoir.

Dans ce bal de gestes maladroits, le PSG a déployé un jeu de marionnettes où l’on s’empiétinait plutôt que de créer du spectacle. Les Brésiliens, quant à eux, ont calmement crocheté l’unique serrure qui gardait les cages parisiennes. Ce but solitaire et furtif envoie Botafogo directement vers les huitièmes de finale, tandis que nos héros parisiens devront ranimer la flamme contre Seattle. C’est un peu comme demander à un chat de rester à l’écart d’un bol de lait.

Interrogé par DAZN, Warren Zaïre-Emery nous a livré une sagesse digne d’un moine tibétain : pas d’alerte rouge ! Pour lui, ce match était plus une leçon qu’une condamnation. « Pas de sueurs froides, » disait-il, comme si on venait de lui demander s’il devait renoncer à sa dernière crêpe au Nutella. L’histoire est loin d’être finie, amis du ballon ! Nous attendons tous Seattle. À vos pop-corn !