Le feuilleton Donnarumma et l’énigme Hakimi…
Ah, le grand chapiteau du PSG attire de nouveau les curieux avec ses numéros de gardiens acrobates ! D’un côté, Donnarumma, le colosse italien à la chevelure d’Apollon, refuse de signer un parchemin sur lequel il n’a apposé son propre sceau royal. De l’autre, le vaillant Lucas Chevalier, portier lillois dont le nom résonne déjà comme celui d’un noble chevalier prêt à prendre d’assaut les buts parisiens. La table ronde parisienne, telle une partie de poker entre alchimistes, semble hésiter entre roulement de tambour et suspense haletant.
Pendant ce temps, le PSG joue la carte de l’illusionniste avec Hakimi à la baguette. Érigé comme le pharaon du côté droit, ce dieu du sprint n’a pas d’équivalent pour le moment. Alors que certains s’efforcent de déterrer des remplaçants potentiels, Luis Enrique, tel un magicien moustachu, affirme qu’il a déjà tout le nécessaire pour sa symphonie défensive. La question reste cependant de savoir combien de tours le marathonien marocain peut encore exécuter avant de se transformer en gargouille épuisée !
Et pendant qu’Hakimi s’entraîne pour la prochaine Coupe de Mondes… des Surhumains, tous les regards se tournent vers les doublures. Le virtuose Zaïre-Emery et le prodige João Neves, tel Batman et Robin, se préparent à remplir le costume du héros suppléant. Ce duo de choc est prêt à jaillir tel un prisme socceriste pour défendre l’honneur de Paris, même si cela signifie gagner une expérience si postganglionnaire qu’elle brouillera les légendes du football contemporain.