Une défaite aigre-douée…

Dans la jungle rugissante de la Coupe du monde des clubs, le PSG a été englouti par un Botafogo affamé, tel un chat opportuniste gobant le dernier biscuit oublié sur la table. Nos héros parisiens ont trébuché sur la haie d’un match où l’ironie était servie avec une assiette froide d’occasions ratées, laissant le pauvre Désiré Doué aussi désolé qu’un chat sous la pluie sans parapluie.

Donnarumma, ce géant en gants de velours, a vu sa cage envahie par une attaque éclaire digne d’un ninja brésilien. Un tir, un but! Pendant ce temps, les Parisiens jonglaient avec les occasions comme des jongleurs sur un fil tendu, mais la magie n’a jamais vraiment opéré cette nuit-là. Le ticket pour les huitièmes s’éloigne tel un mirage dans le désert, les poussant à devoir tout donner lundi soir contre Seattle.

Doué, dont l’élan habituel était aussi étincelant qu’un feu d’artifice un 14 juillet, s’est retrouvé face au micro aussi dépité qu’un footballeur sans ballon. « On est très, très déçus ce soir », a-t-il déclaré, comme si chaque mot était une goutte de pluie tombant sur un parapluie déjà détrempé. Mais attention! Malgré la défaite, nos héros se relèveront, car chaque lion qui trébuche finit par régner à nouveau sur sa savane!