Quand le mercato devient un vrai roman de plage…

Imaginez la scène : le PSG en plein milieu d’un match spatial à la Coupe du Monde des Clubs, jonglant comme un fakir du transfert sur la braise du marché estival. En plein cœur de cette spectacle féérique, notre acrobate parisien Randal Kolo Muani est déjà prêt à sauter du tremplin pour plonger dans une mer de transferts. La Juventus, coiffée d’un sombrero napolitain, fait pression avec la subtilité d’un éléphant dans un magasin de porcelaine pour s’attacher les services de notre funambule national.

Mais voilà que Paris, telle une grand-mère qui garde jalousement la recette secrète de sa ratatouille, n’est pas prêt à le laisser partir en simple prêt. Non, mesdames et messieurs, ils veulent le vendre comme un gâteau au chocolat à la sortie de l’école ! Pendant ce temps-là, la Juventus se perd dans le labyrinthe des transferts d’été avec Jonathan David et rêve des performances de Victor Osimhen, qui pourraient transformer Randal en l’option « plan B » de la veille dame turinoise.

Randal, lui, se retrouve tel un héros de tragédie grecque, à devoir jongler entre ses envies de Juve et le mystère glauque de son futur club. À l’aube de la Coupe du Monde 2026, le jeune artiste du ballon rond ne sait plus sur quel pied danser : prolonger l’opéra à Turin ou signer le script d’une nouvelle comédie au PSG ? Voilà un mercato qui promet de faire plus de rebondissements qu’un troupeau de kangourous en pleine compétition de trampoline !