Rencontres nostalgiques en Coupe du monde des clubs…

Imaginez une scène surréaliste où les fantastiques licornes du PSG galopent gracieusement vers la Coupe du monde des clubs, prêtes à affronter les sirènes de l’Inter Miami. Et qui retrouve-t-on ? Le magicien Luis Enrique, armé de son chapeau pointu, prêt à retrouver sa bande de Barcelone qui ressemble maintenant à la reformation d’un boys band mythique. Au programme : Messi, Suarez, Busquet, Alba, et même Mascherano sur le banc, en pleine séance de coaching transcendantal.

Attention, mesdames et messieurs ! Nous avons ici un Jordi Alba en mode fusée spatiale, qui s’éclate en déclarant que Luis Enrique est plus phénoménal qu’un plat de frites belges. Après un marathon face à Palmeiras fini en sprint nul (2-2), Alba encense son ancien mentor comme si c’était le dernier ticket pour une soirée à Disneyland. Le retour des visages familiers promet des accolades qui feraient fondre le plus dur des cœurs de pierre.

Quant au PSG, Jordi n’a pas tari d’éloges. Paris joue selon lui le football comme un orchestre symphonique sous LSD, mêlant profondeur et souplesse avec une aisance déconcertante, un peu comme si Patrick Sébastien prenait le contrôle d’un vaisseau spatial. Préparez-vous, fans de foot, pour un match épique, où chaos et virtuosité s’entremêlent tel un carnaval cosmique sous les projecteurs !