Retour vers 2020 avec Donnarumma en prime…
Ah, le PSG! Toujours prêt à nous offrir du caviar, ou parfois, des croquettes pour chats, mais avec panache. Nous sommes embarqués dans un voyage dans le temps, propulsés jusqu’à l’époque palpitante du Final 8 de la Ligue des Champions en 2020, où le PSG, tel un hamster dans une boîte à chaussures, se démène entre les cris en provenance d’Allemagne et la poigne de fer du Covid. Le père de Neymar, désespéré de ne pas pouvoir câliner fiston, a dû se contenter d’envoyer des bisous volants depuis le parking.
Gianluigi Donnarumma, l’italien qui a plus de gants que de paires de chaussettes, est chouchouté comme un panda dans un zoo. En effet, notre colosse des cages a été traité comme un lingot de platine lors de la Coupe de France, chauffant le banc pendant que son dauphin Safonov prenait le relais. Tout ceci pour assurer que son intelligence gardienne reste aussi fraîche que la laitue croquante des mescluns parisiens. Eh bien sûr, Mister Luis Enrique se croyait chef d’orchestre de la quiétude, accordant des vacances à son équipe comme dans un film de vacances à la mer.
Et que dire de cette préparation à la finale Inter-PSG? Nos champions savourent un repos bien mérité, un peu comme si une cigogne géante les berçait au bord *de Seine*. Sous un ciel parisien bleu et rouge, avec une astuce aussi tactique que celle des échecs joués par des éléphants volants, l’équipe reprend des forces pour Munich. Mais ne vous y méprenez pas, entre des selfies festifs et des croissants dorés, le grand défi bavarois les attend toujours, prêt à se transformer en fromage à raclette fondu sous l’arène allemande.