Folles péripéties et drames évités…
Mesdames et messieurs, la planète foot tremble à nouveau ! Dans un Parc des Princes transformé en marmite bouillonnante, le PSG vient de faire rougir les Gunners façon coq au vin. Emmenés par un Donnarumma qui volait plus haut qu’un pigeon du Trocadéro, les Parisiens ont réussi à repousser les assauts d’Arsenal avec un calme olympien. Le portier italien, aussi intraitable qu’une rue de Paris un jour de grève, a sorti des parades dignes des plus grands films d’action, rappelant à tous qu’il est la muraille de Chine incarnée.
Le PSG a démarré tel un escargot sous amphétamines ! Malgré la tension électrique de la défense parisienne, Kvaratskhelia a fait vibrer le poteau comme un chanteur d’opéra en pleine performance, annonçant la couleur dès le premier acte. Declan Rice, le samouraï des Gunners, s’est mué en moulin à vent face à Fabian Ruiz. D’un coup franc magistralement exécuté, il a transformé la pelouse en piste de danse et le ballon en invité VIP des filets adverses, déclenchant les ovations de la foule.
La deuxième mi-temps était un festival digne d’un feu d’artifice du 14 juillet ! L’arbitre, après avoir consulté la VAR comme un devin lisant les astres, a sifflé un penalty en faveur du PSG. Mais le sort s’est amusé et Raya s’est paré d’un costume de super-héros levant son bouclier. Finalement, grâce à un duo magique entre Hakimi et Dembélé, les Parisiens ont doublé la mise, reléguant Saka au rang de spectateur ébloui. Le suspense était haletant jusqu’à la fin mais les Parisiens ont arraché leur ticket pour une finale enflammée à l’Allianz Arena. Venez, chapeaux à plumes et fanions au vent, soutenir cette symphonie de fous !