L’équipage PSG tangue-t-il avant Arsenal?…
C’est un peu comme si le PSG avait avalé un nuage de guimauve et se retrouvait avec des ailes en coton, incapable de survoler ses adversaires comme avant. À en croire L’Equipe, depuis la trêve internationale, le PSG a l’air aussi déterminé qu’un chat sous somnifères. Quatre combats récents et un seul sabre sorti victorieux face au redoutable Le Havre. Pourtant, tel un capitaine optimiste face à une tempête de popcorns, Luis Enrique garde le sourire : « S’ils jouent aux fléchettes avec une boule de bowling, forcément… », a-t-il déclaré en tapotant Pensivement une tasse de café invisible.
Sur un autre front, notre géant italien préféré, Donnarumma, a décidé de se convertir en albatros des temps modernes. Sa dégaine idéale de chef d’orchestre pour les chansons de soprano semble enfin fructifier. Avec précision cicéronienne, il dompte les têtes volantes comme un chef pizzaiolo avec ses ingrédients. Mais attention, ses impressions de montage en caoutchouc persistent, surtout face aux corners perfides. On l’attend de pied ferme contre Arsenal, espérant qu’il ne transformera pas ses hésitations en un ballet de marionnettes désarticulées.
Pendant ce temps, côté Marvel, la puissance collective du PSG ressemble actuellement à une bande dessinée sans bulles. L’intensité s’est envolée comme une mauvaise blague de sitcom. Un nombre embarrassant de buts encaissés renvoie à ces scénarios où Batman oublie sa ceinture. Vitinha, avec sa chorégraphie de pas hésitants et Nuno Mendes, en professeur distrait de Zumba, illustrent une drôle d’épopée. Heureusement, Dembélé, le nouveau Picasso des passes, garde sa palette prête à égayer la grisaille. Il semble cependant que le PSG mise tout sur le grand Olympe de la Ligue des champions. Hasta luego, concentration!