Luis Enrique, coach ou masseur pro ?…

Depuis que le PSG a planté son drapeau en Californie pour la Coupe du Monde des Clubs, c’est tout Hollywood qui tremble d’émotion ! Pourtant, mis à part quelques étudiants égarés qui les confondent avec une équipe de water-polo, le PSG profite de ses vacances studieuses à L.A. Imaginez, ils ont transformé leur hôtel en annexe du Parc des Princes : petit-déjeuner à 8h30, échauffements en salle, tout comme à la maison. La plage de Newport Beach est à portée de crampon, mais attention, seuls les croissants de l’hôtel sont obligatoires.

Luis Enrique, notre coach en baskets et bermuda, a réussi l’exploit de faire de chaque plage un bastion de détente et de rêve. Au menu : matchs de tennis ballon sur la côte, selfies avec les requins (en peluche) pour dissiper le stress et siestes sous les palmiers. Dommage pour Ousmane Dembélé, blessé et en vacances forcées, qui devient officiellement le spectateur le mieux bronzé de l’équipe parisienne. Bradley Barcola, avec son genou aussi fiable qu’un souvenir de vacances, hésite encore entre le banc des blessés et celui des remplaçants.

Nos leaders aux pieds magiques jouissent d’un programme digne d’un marathonien en vacances : plages de repos quasi quotidiennes pour ressourcer neurones et mollets. Luis Enrique, grand gourou du Paris-Saint-Glamping, instaure son traditionnel turnover – chaque match est un billet de loterie pour une place sur la pelouse. Avec des déplacements dignes d’un tour du monde en 80 jours, le PSG rêve d’Hollywood… mais une fin féerique dans le New Jersey fera aussi l’affaire : la route vers la gloire est pavée de petits déjeuners impératifs et de selfies bien encadrés.