Luis Enrique, le maestro de la confiance…

Sous un soleil de plomb aussi brûlant qu’une friteuse en délire, les Parisiens ont affronté avec sérieux l’équipe de Seattle. Tel un ballet bien rodé de flamants roses sur un lac gelé, ils ont décroché la qualification pour les huitièmes de finale de la Coupe du monde des clubs sans même transpirer une goutte, remportant le match par 2-0 grâce aux éclairs de génie de Khvicha Kvaratskhelia et Achraf Hakimi.

João Neves, le maestro du milieu de terrain, nous a confié qu’il avait l’impression de jouer dans une cocotte-minute à feu doux. Heureusement, sous la baguette magique du chef d’orchestre Luis Enrique, chaque joueur a trouvé sa note parfaite dans cette symphonie footballistique. « Notre coach est exceptionnel, il nous insuffle la confiance du coton qui n’absorbe que la victoire », a chanté Neves, visiblement ravi de cette douce partition.

Et même si Seattle faisait mine de vouloir jouer à cache-cache avec le ballon, les Parisiens ont appliqué la méthode « récupérons-le-avant-même-de-le-perdre », digne d’un sprint de guépard dans la savane. Au final, c’est le PSG qui a chanté victoire sur la scène mondiale, comme un ténor dans une chorale de canaris. Voilà une partition parfaite qui résonne jusqu’aux étoiles !