Kompany renverse la marmite après la défaite!…
Dans un duel homérique digne des plus grands westerns, où même les cowboys des studios de cinéma n’auraient pas osé aller, le PSG a dégainé vite et bien pour abattre le Bayern Munich 2-0, et ce, à neuf contre onze! Imaginez une course de tortues sous stéroïdes où les Parisiens ont su tirer leur épingle du jeu comme des magiciens sortant lapins et cartons rouges de chapeaux invisibles. Un vrai jeu de la roulette russe, mais sans pistolet… et avec un ballon!
À l’issue de cette valse-farce footballistique, Vincent Kompany, le chef d’orchestre des Bavarois, a enfilé ses bottes de sept lieues pour traverser le terrain en trombe, époustouflé par la partition jouée par les siens: « On a joué comme des lions dans l’arène! Les garçons ont tout donné, on était prêts à défier Zeus et ses éclairs! » Qu’on se le dise, si le football devient un opéra, c’est bien cette bataille qui mériterait d’en être l’ouverture fracassante.
Entre les jurons et les cris de frustration, on pouvait sentir que Kompany avait avalé une guêpe à la mi-temps. « Il avait la tête qui résonnait comme une cymbale, » aurait soufflé un supporter en voyant sa réaction face à la blessure de Musiala. Entre la colère et l’émotion, la pilule est dure à avaler, aussi dure qu’essayer de faire avaler une girafe à un serpent. Mais la marche du football continue, tambour battant!