La torride symphonie parisienne écrase Madrid…

Dans un exploit digne d’une battle de rap francophone, le PSG a administré une leçon de football cosmique au Real Madrid en demi-finale de la Coupe du monde des clubs avec un score stratosphérique de 4-0. L’équipe de Luis Enrique, transformée en une bande d’extraterrestres du ballon rond, a fait virevolter l’équipe espagnole comme des marionnettes en papier. « Une raclée mondiale », clament les titres espagnols, les journaux se tordant de douleur, l’ego froissé comme une feuille de papier aluminium.

Le quotidien espagnol AS déclare que la prestation inoubliable de Luis Enrique a transformé Ousmane Dembélé en une version raphaëlesque et indomptable de lui-même, une comète absurde devenue réalité. Pendant que Kylian Mbappé, tel un mammouth coincé dans une mare de confiture, était critiqué pour sa performance fade, on célébrait le chef d’orchestre Enrique qui jouait sa symphonie parfaite. Même les zèbres des rues madrilènes semblent y repenser deux fois avant d’afficher leurs rayures.

Au-delà des Pyrénées, les louanges coulent comme la Seine lors d’une crue mythique. La Gazzetta dello Sport n’a plus de mots et n’hésite pas à comparer le PSG à une fusion entre maths et art, une peinture mouvante sur le grand tableau vert. Des trébuchements madrilènes aux feux d’artifice parisiens, le PSG, en mode feu d’artifice sauvage, a laissé tout le monde bouche bée et, soyons honnêtes, un tantinet jaloux!