Luis Enrique, le Shakespeare de la Ligue des Champions…
Mesdames et messieurs, attachez vos ceintures et ouvrez vos parasols, car le Parc des Princes a été témoin d’une épopée digne des plus grands récits fantastiques. Le PSG, en véritable troupeau de licornes ailées, a enflammé le gazon parisien face à une équipe d’Aston Villa qui se croyait au festival de la crevette dans le Buckinghamshire. Un match où les Parisiens, perdues dans une danse orchestrée par le chef d’orchestre Luis Enrique, ont dominé comme des lions sautillant dans une mare de biscuits en chocolat.
Les Villans, usés comme un vieux chausson, ont néanmoins surpris tout le monde en marquant sur leur premier coup de hanches avec un contre fusée-goupille de Rogers. Mais trois minutes plus tard, le jeune Désiré Doué a sorti de sa poche un missile téléguidé droit dans le but adverse et les Parisiens ont alors déroulé leur grand carnaval. Avec un Khvicha Kvaratskhelia et un Nuno Mendes stars du chapiteau, ce fut une fin de match en fanfare pour un score de 3-1 qui laisse Aston Villa aussi déboussolé qu’un poisson rouge dans un labyrinthe.
Luis Enrique, au micro de Canal Plus, n’a pas manqué de féliciter ses mousquetaires, vantant leur habileté à jongler entre la pression comme des clowns jonglent avec des bananes au cirque. « On ne va pas spéculer », s’est-il écrié, le poing levé tel un général devant ses troupes. « Attaque, attaque et re-attaque! » Une stratégie aussi évidente que le nez rouge d’un clown, mais efficace pour s’assurer un passage faste pour le retour dans la tanière des Villans, un match qui promet d’être aussi palpitant qu’une course de limaces sur un miroir.