PSG sur la planète mercato…
Dans un coin enfumé de l’univers du football, tel un marais peuplé de grenouilles diplomates, la direction du PSG scrute les astres du mercato. Les bras chargés de petits-fours et de rêves empilés, Nasser al-Khelaïfi se glisse dans l’arène pour dompter Bournemouth et conclure le pacte avec Illia Zabarnyi, le défenseur ukrainien au sourire d’acier. Alors que les milliards semblent plus légers que des plumes dans cette danse monétaire, Paris propose 60 millions d’euros, mais les Anglais veulent encore remplir leurs poches jusqu’à 70 millions. Nasser semble prêt à plumer les oies d’or pour sceller cet accord, mais rien n’est joué sous ce ciel de Paris.
Pendant ce temps, Gianluigi Donnarumma, l’Italien avec la hauteur des Alpes, pourrait bien faire ses valises pour traverser les vastes plaines de l’incertitude. Les rumeurs gonflent comme des ballons d’hélium : Paris lorgnerait déjà vers Lille et son gardien Lucas Chevalier, au nom de l’héritier du trône des cages. Mais voilà, Olivier Létang, armé de sa ténacité légendaire, s’apprête à transformer ces pourparlers en une bataille de poings en velours.
Et puis, dans une charrette tirée par une armée de licornes, Randal Kolo Muani, de retour de sa mission à Turin, enfile le maillot du PSG comme un super-héros en quête de son prochain acte. La Juventus lui a déroulé un tapis rouge, parsemé de clauses secrètes, mais le PSG tente toujours d’alléger la valise financière. Et oui, mesdames et messieurs, le monde du foot n’est qu’un immense chapiteau de cirque où chacun tente sa pirouette avec finesse et un grain de folie incarné par les histoires rocambolesques des transferts à paillettes.