Les Parisiens avancent triomphalement…

Sous le ciel de Seattle, les Psigéens ont dansé une valse victorieuse, éclaboussant les Sounders de leur talent comme une tempête de paillettes. L’attaque menée par un Mayulu en apesanteur n’a pas atteint les sommets de l’Empire State Building, mais qu’à cela ne tienne, ce sont d’autres virtuoses qui ont illuminé la scène. Le PSG a scellé son triomphe avec un 2-0 cinglant, validant un billet doré pour les huitièmes de finale.

Dans cette joyeuse mascarade tactique digne d’un opéra, le maestro Hakimi a brillé telle une boule à facettes. À grands coups de génie footballistique, il a offert une prestation à donner des vertiges aux danseurs étoilés, inscrivant un but qui scintille tel un diamant à la fête. Quant à la charnière Marquinhos-Pacho, ils ont planté un mur invisible, digne des fortifications de Vauban, empêchant toute intrusion digne de ce nom. Comme deux bulldozers en délicatesse, ils ont fermement gardé leurs filets bien protégés.

Toutefois, au grand festin de la victoire, le pauvre Mayulu s’est égaré tel un Papillon dans un blizzard, recevant une note de 4/10 rappelant le thé tiède d’une cafétéria d’aéroport. Mais auguste est l’émotion au PSG, car lorsque les étoiles filent, peut-on vraiment bouder leur éclat ? Voilà Paris qui danse, qui rit, qui conquiert, prêt à affronter l’univers entier pour atteindre la gloire galactique de la Coupe du monde des clubs !