Luis Enrique, chef cuistot du football…

Dans une démonstration de football digne d’un pâtissier jonglant avec des croissants chauds, le PSG s’est offert un festin bien garni face à l’Atlético de Madrid, dévorant ses adversaires comme si c’était un petit-déjeuner à Montmartre. Les Parisiens, sous la baguette magique du chef étoilé Luis Enrique, ont su marquer leurs quatre jolis buts tels des macarons empilés sur une assiette en argent.

Face à un Atlético aussi inoffensif qu’un chaton qui ronronne, le PSG a déroulé son jeu avec l’élégance d’une danseuse étoile sur un air de Debussy. Avec Gonçalo Ramos qui jouait les merles moqueurs à la place de l’élégant Ousmane Dembélé, un fantôme en survêtement sur le banc, Paris a transformé ce match en une balade du dimanche en tandem, où chaque pédalée résonnait comme un chant de grillon à la tombée de la nuit.

Quant à Enrique, il a si bien jonglé avec son effectif que c’en deviendrait presque plus excitant qu’une promenade à dos de lama au sommet de la Tour Eiffel. « La clé, c’est de bouger comme des molécules de chocolat dans un fondant, » a-t-il ajouté, tout sourire aux lèvres. Une leçon aux petits oignons pour l’ensemble des joueurs qui jouent déjà comme s’ils éditaient leurs propres cartes postales de la victoire.