Luis Enrique triomphe en sourire…
Lors du grand carnaval mondial des clubs, le PSG s’est transformé en un ogre affamé capable de dévorer un éléphant en une seule bouchée, avec une démolition en règle de l’Inter Miami sur le score de 4-0. Les Parisiens ont jonglé avec le ballon comme des magiciens avec des baguettes de pain, ne tremblant pas une seule fois face à Lionel Messi, transformé pour l’occasion en magicien aux pouvoirs temporaires. Luis Enrique, tel un chef d’orchestre guidant une symphonie de manifestants pacifiques, célébrait ses troupes en Rouge & Bleu avec des louanges dignes d’un concert de klaxons un soir de victoire.
«On est prêts à affronter n’importe qui», clame Enrique, ébloui par ses footballeurs transformés en ninjas de la pelouse, prêts à faire pleurer n’importe quel adversaire d’un match au goût piquant de poivron. Paris est magique, et menace désormais tous les cercles du football comme un magicien tient une salle à couper le souffle avec ses tours de cartes invisibles. Ce PSG-là jongle avec l’ambition comme un jongleur sur un monocycle au-dessus des feux de la rampe.
Avec une première mi-temps aussi maîtrisée qu’une recette de croissant réussie, le Paris Saint-Germain a imposé son rythme effréné comme un DJ mixant toute la nuit sans jamais perdre le beat. La joie de Luis Enrique était aussi grande qu’un but marqué à la dernière seconde, réchauffant Paris de sa danse de victoire. En avant vers de nouveaux horizons, tel un navire conquérant prêt à hisser les voiles dans le grand océan émotionnel du football !