Quand le PSG vole la vedette aux Bleues…

Dimanche dernier, sur la planète football, une bataille épique a eu lieu sur les écrans de télévision, un duel digne des plus grands westerns spaghetti. D’un côté, le PSG chevauchait la crête de la finale de la Coupe du Monde des Clubs contre Chelsea, comme un cow-boy sur son cheval. De l’autre, l’Équipe de France Féminine tentait de dompter les Pays-Bas à l’Euro 2025, comme un lion dans un hula hoop. Et devinez quoi ? Le PSG a roulé des mécaniques avec un audimat de 4,79 millions de fans émerveillés, tandis que les Bleues se contentaient de 2,28 millions d’yeux pétillants. TF1, la tour de contrôle de cet événement intergalactique, a confirmé que même les martiens captaient leur chaîne pour ne rien rater de ce spectacle titanesque.

La soirée a vu TF1 repousser ses limites et s’installer au sommet de l’Olympe télévisuel avec une part d’audience stratosphérique de 30,1%. Pendant ce temps, France 2, avec ses 13,8%, faisait de son mieux pour danser la valse en troisième position comme un maestro en patins à roulettes. Même si le PSG n’a pas décroché le Graal face à Chelsea, le cœur des téléspectateurs était déjà conquis, prouvant que les footix veulent voir la Tour Eiffel rugir, quitte à faire pâlir Mona Lisa.

On peut entendre dire que TF1, en stratège rusé, a jonglé avec les droits télévisés comme un jongleur épileptique, préférant envoyer les Bleues sur France 2, et offrir la scène aux géants parisiens. Un choix de programmation qui a payé son pesant de cacahuètes pistaches, avec des audiences qui ont fait tappé des tambourins dans les couloirs de la direction. Voilà qui rappelle que, parfois, la logique de l’audience peut transformer un match de foot en une épopée hollywoodienne.