PSG sur scène et Abriel flambe…
Attachez vos crampons et sors la vuvuzela! Ousmane Dembélé, le colibri du foot parisien, est de retour pour affronter Arsenal. Après avoir cajolé ses ischio-jambiers comme une grand-mère surprotectrice, le mosaïste du ballon rond est prêt à redonner des couleurs au PSG en Ligue des Champions. L’Equipe, telle une voyante avec sa boule de cristal, nous assure que sauf invasion de sauterelles, Ousmane sera de la partie. Le Doc Luis et son équipe médicale, plus synchronisés qu’une horloge suisse, jurent que la gestion du temps de jeu au PSG rivalise désormais avec les prévisions météo.
Sur la scène mondiale, le PSG se la joue Shakespeare du foot. Donnarumma, alias « la Tour de Pise inversée », veut gravir l’Everest des gardiens. Les magiciens Mendes et Hakimi réalisent des tours de passe-passe aux ailes, envoyant Salah au tapis comme un boxeur groggy. Marquinhos et Pacho, les chevaliers de la charnière centrale, font tomber les murs adverses comme un jeu de dominos. Au milieu, le trio Fabian, Vitinha et Neves construit des châteaux de cartes plus solides que jamais, même si Vitinha a parfois le souffle court à la montée.
Enfin, côté individuel, on croirait voir des fusées sur le terrain. Kvaratskhelia et Doué sont comme des météores, non pas dans le ciel, mais sur la pelouse. Cependant, c’est Dembélé, notre supernova, qui brille tel un phare dans la nuit pour le PSG. Et pendant que l’équipe masculine rêve de conquêtes européennes, chez les Féminines, Fabrice Abriel, le capitaine sans bateau, doit céder sa place à Paulo César suite à une débâcle en Coupe de France. Jusqu’où les Parisiens iront-ils? Seul le ballon et une bonne dose de chance le savent!
