Quand le PSG perd ses baguettes magiques…
Hier soir, le Parc des Princes a assisté à une scène digne des mésaventures d’Astérix en s’inclinant pour la première fois en Ligue 1 cette saison contre Nice (3-1). Les Parisiens, tels de vifs Gaulois pris dans une tempête d’obus niçois, ont vu leurs efforts vains face à une défense irréprochable. Mais loin de sonner la retraite, l’intrépide Willian Pacho a opté pour la sagesse du hibou en déclarant que tout allait bien. Selon lui, il ne faut pas vendre la peau du ballon avant de l’avoir dribblé.
Car quatre jours avant d’affronter les Gunners d’Arsenal en demi-finale aller de la Ligue des champions, l’équipage parisien avait des rêves de balades champêtres contre Nice. Mais la petite troupe a découvert que le roquefort peut être aussi piquant que ses adversaires azuréens. En zone mixte, Pacho a balayé les doutes comme un mauvais sort. « Pas de panique ! » a-t-il affirmé, tel un druide confiant en ses potions – celles de la cohésion et du collectif avant tout.
Mais à l’horizon, des questions se dessinent avec panache. La défense a pris l’eau comme un voilier percé, et bien que l’ombre des doutes persiste, Willian Pacho joue la carte de l’unité. « Continuons de travailler ensemble, créons une symphonie défensive ! » a-t-il clamé. Une chose est sûre : avec de telles déclarations, le PSG a de quoi rebondir, et bien des pages à colorier en bleu et rouge au-delà de cette déconvenue niçoise.