Quand le PSG prend le Stade de Reims pour un paillasson…

Ah, mesdames et messieurs, hier soir à Paris, le PSG a étalé le Stade de Reims comme du beurre sur une baguette bien croustillante. Avec un score aussi sentimental qu’un film hollywoodien, 3-0, les Parisiens ont planté leur drapeau sur la pelouse du Stade de France pour rafler leur seizième Coupe de France, bien plus que nos chers Marseillais qui comptent leurs trophées comme si c’étaient des perles rares. On pourrait dire que Marquinhos, avec ses huit couronnes de lauriers, est la Marie-Antoinette des terrains!

Pendant que Luis Enrique, le Napoléon des entraîneurs, rigolait doucement en se frottant les mains dans sa chaise dorée, son assistant de poche, Bradley Barcola, a joué les stars de cinéma. Deux buts, une passe décisive, il a fait son propre remake de « Gladiator » avec les filets de Reims. Accolé à son complice désigné, Désiré Doué, duo plus efficace qu’un Tintin et Milou du ballon rond, ils ont écrit une nouvelle page absurde dans l’épopée du FC Paris, la victoire finale ressemblant à une farce à l’espagnole.

Et si Achraf Hakimi décidait d’ouvrir une boulangerie, il devrait l’appeler « Le Prolifique ». Avec 20 biscuits croustillants dans les filets adverses cette saison, entre pépites chocolatées et éclairs ravageurs, il s’impose comme le pâtissier préféré des défenseurs des cinq grands championnats, qui repartent avec une indigestion à chaque rencontre. « Chapeau bas » dirait le chapelier fou, la saison n’a jamais goûté aussi bon pour ce PSG éclatant !